Ailleurs que dans ma tête.
Cela, l'amour s'en va sur la pointe des pieds sans bruit ou à tambour battant claque la porte tout part fout l'camp met les voiles Et j'ai su à genoux cela, comme une façon de vivre l'amour sangsue l'amour sans suite l'amour s'en va la beauté qui snipe...
Doigt sur mon clito queue cliquetante péréclitant, il me quittait. Qu’entends-je dans l’été brûlant clinquant, clic tendre et quant à soi en kit soudain je claquai des dents.
J’habite ce seul mouvement, l’amour à la hâte une chose puis son contraire, l’amour à l’arrache je ne creuse rien en toi, l’amour à la hache mais ton monde me parvient, l’abîme
Et vivre vite de chaleurs cuniculaires dans l’été aléatoire encanicule-moi de toi à moi de moi à toi polyséminale-moi de tes aléas notoires odorifère-moi sans k-akfa sans k-way sans k-pote k-uniculinguistique-moi en-kanikule-moi Jankélé-bitche-moi et...
tu me tiens éloignée de la mélancolie j’ai cousu tes paupières ficelés de langage tes yeux ne cillent pas ni aux êtres pantomimes ni aux choses pacotilles je te contiens à double tour à cran d’arrêt je devine flaire assimile proche précise clinique je...
convocation sur ta trique iris à la prostate polyphonie tantrique Eros à la ramasse je ventriloque ta queue
et ton vit vissé dans ma cervelle ne signifie rien d’autre que ton vit vissé dans ma cervelle à vide dévide le fil servile et avilie je ne vis rien, je ne vois rien que ton vit vissé dans ma cervelle ne signifiant rien d’autre que ton vit vissé dans ma...
Et dans l’impossibilité à dire, vers toi, je porte parfois le chemin du dicible entre les opacités tristes de nos vies vers toi, j’invente de nouvelles solitudes et dans l’irréversibilité du temps, vers toi, je m’illusionne d’un retour possible ai-je...
Sur les fragments du dire bleu Baise-en-ville en bandoulière La révolte de l’amour caniveau De l’aube à l’aube Un marionnettiste de passage Habile Aiguise de feintes parades nimbées d’ecchymoses Te cisaille au couteau du verbe acéré Et décline en ton...
Le tumulte du monde s’amenuisait A chacune de mes fugues Des fantômes affluaient Pourtant Sur les chemins de ruines L’air n’était pas sans espoir Dans ce labyrinthe familier Sommes-nous Bousculés par nos spectres Saturés de clarté Aux oreilles d’un ciel...
